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Lettre no 29 : Pensées et Gestes

jite

Nouveau poète
#1
Pensées et Gestes
Voici les pensées que j'ai de vous et les gestes que je pose en me relisant pour que vous vous imaginiez bien le contexte qui prévaut et que vous mesuriez bien l’amplitude de mon jet d’écriture provenant de mes intentions retenues profondes



La beauté toute pure porte un nom : le vôtre (j'ai le regard perdu)
D'entre toute, vous êtes l'unicité parmi la diversité (je regarde droit devant moi)

Votre corps porte atteinte à mon insouciance et à ma naïveté (un soupir posé mais lourd)
Sans nulle doute, la nature vous a pris en adoration et vous a rendu parfaite (en hochant la tête)

Je vous revois demain matin comme à tous les matins et cela me semble bien long parfois (un soupir de satisfaction profond)
Vous êtes colorée de tempérament comme une bille dans un jeu de billes miroitantes et si jolies à regarder (je m'étire sur mon fauteuil)

Nul besoin que je cherche quelqu'un d'autre, vous êtes plus que ce que je pourrais désirer et obtenir (les mains ouvertes de conviction)
Je ne me lasse pas de croiser votre regard, vous qui chercher certains jours à feindre le mien (je me penche la tête vers la droite)

Mais il y a d'autres jours ou vous me sembler si éclatante, comme un grand soleil de bonheur (je me recule d'un coup sec)
Je ne sais pas ce qu'est l'amour et je m'en fous bien un peu, l'important est que j'éprouve de la joie en pensant à vous (je dis Non avec ma tête)

À quoi cela me servirait-il d'inonder l'ail d'huile d'olive, donc de vous complimenter en trop d'occasion (la main droite comme pour amplifier mes dires)
Vous seriez porter à penser que je suis un danger pour vous, que j'exagère et que j'en fais beaucoup trop (les sourcils levés de certitude)

Je vous sens déjà réticente parfois car vous voyez bien que je ne peux plus me retenir de m'approcher près de vous (un moment de découragement ponctuel)

Je n'arrive plus à vivre sans vous (un peu découragé de constater)
Vous n'avez aucune responsabilité dans cet état ou je me trouve (en insistant sur le aucune)
Je vous l'ai dit maintes fois, j'ai essayé de vous oublier mais je n'en suis pas capable (je ne sais plus comment le dire sans le redire de la même façon sur le même ton de façon sempiternel)

La vie ne m'a pas donné les attributs physiques pour vous plaire ni des valeurs compatibles avec les vôtres (une évidence décourageante)
Je rêvais de vous jours et nuits (je ne me le dit pas pour me convaincre car déjà tellement convaincu d’avance)

J'ai eu beau me dire qu'on était diamétralement opposé (un petit mouvement de lèvre de coté)
J’ai toujours été attiré par vous, votre corps, votre bonne humeur, votre jugement, vos filles, votre façon de penser, votre vie, ... (le coté de ma main sur le bureau comme pour insister)

Il y a longtemps d'ailleurs que je ne peux plus tenir le coup (un respire plus profond que le précédent)
Je me demande d'ailleurs comment j'ai fait pour durer si longtemps près de vous (encore un Non de fait)
Sans pouvoir vous dire ce que j'aurais aimé vous dire mais qu'il aurait été inutile que vous le sachiez dans le fond (un regard en bas vers la droite)
Vous savez déjà ce que je pense de vous lorsque je vous regarde droit dans les yeux (je me décourage moi-même)

Quand je vous regardais, je perdais tous mes moyens, ce n'était pas des blagues (un petit sourire en coin)
Lorsque je vous disais que vous étiez parfaite, ça non plus ce n'étais pas des blagues, je le pensais et le pense toujours vraiment (plus aucun sourire ne pointe en moi)

J'avais tout pour être heureux mais le principal, vous, je ne vous avais pas (mes mains qui se croisent sur mon ventre)

Je ne sais pas si j'ai pris la bonne décision mais c'était la seule qui réglait définitivement le problème que j'avais avec vous (un petit doute pointe mais se referme)
Je n'étais pas capable d'aimer et ceci on peut le garder à l'intérieur très longtemps (un hochement de droite à gauche sans bruit)
Mais à un moment donné, ça doit sortir et quand ça ne peut pas sortir et bien il faut que ça sorte quand même (!)

Vous n'avez rien fait pour me pousser à faire ceci au contraire je vous voyais garder une distance avec moi et vous aviez raison (bien malgré moi)
Je n'étais pas dangereux, quoique vous en pensiez j'avais pour vous un respect que vous ne pouvez même pas imaginer l'ampleur (peut-être un peu trop même)
Évidemment, c'était un faux respect car dans le fonds je n'aurais jamais osé vous dire que je vous aimais (ma main passe dans mon cou)
Que j'étais prêt à tout abandonner pour vous, même si je savais que c'était inutile et que je n'aurais pu tenir le coup longtemps (ma tête s'appuie sur ma main arquée)

Je sais que vous ne partagiez pas les mêmes sentiments envers moi (et j'en suis bien peiné mais conscient)
Je vous le répète, vous aviez raison du début à la fin

La distance que vous preniez avec moi, je le voyais et je vous approuve pleinement, j'aurais fait la même chose

Vous êtes quelqu'un de bien, de très bien même (ceux qui vous connaissent le savent et ceux qui ne vous connaissent pas le sauront un jour)

Votre amoureux et vos filles sont chanceux de vous avoir près d'eux, je les envies tellement (j'ai une grosse larme qui coule bien malgré moi mais dont je profite du moment présent...)

Soyez heureuse. Moi, sans vous, je n'aurais jamais pu l'être... heureux (vous savez ce que je veux dire, vous me l'avez tellement demandé et répété souvent)

Je vous jure du plus profond de mon âme que je serai toujours et pour l'éternité (aucun doute, aucun...) le plus grand de tous vos admirateurs (vous n'imaginez pas jusqu'ou je pourrais aller pour respecter cette admiration)


PS: Merci d’exister et de me prêter un attention même si elle est pour vous futile